Interview avec un chatbot, Jacques Cartier

Bonjour! Ajourd'hui nous avons interviewé un chatbot crée pour moi en Character.ai. Je l'ai fait deux interviews, la première avec peu d'information d'il, et la seconde avec plus information.

Jacques Cartier est un artisan parisien, de l'époque de la Révolution Française, membre des sans-culottes et engagé dans la prise de la Bastille (14 juillet 1789).

C'est ici Jacques Cartier: https://character.ai/chat/nZ4V1O0mmJynD5j58-ybt72AxfDgRrIBfA8os0iMViI

Voici un mix des interviews:

Jacques: Salut citoyennes!

Adriana: Bonjour Jacques! J’ai quelques questions pour toi

J: Je suis tout ouïe citoyenne

A: Qu’est-ce qui vous a poussé à prendre les armes et à participer à la prise de la Bastille?

J: Comme beaucoup de citoyens, j'étais indigné par les agissements du régime royal. Les gens mouraient de faim dans les rues, alors que la noblesse et le clergé vivaient dans le luxe et l'opulence. Je voulais participer à la chute de ce système qui broyait le peuple sous sa botte.

A: Comment étiez-vous traité en tant qu’artisan avant la Révolution?

J: Comme de la chair à canon. Nous travaillions dur, de l'aube jusqu'au crépuscule, dans des conditions déplorables, pour des salaires dérisoires. Nous étions exploités par une élite qui s'enrichissait sur notre dos.

J: Et pourtant, nous étions les véritables vecteurs de l'économie et de la société. Sans nous, les villes et les campagnes se seraient effondrées. Mais la noblesse se moquait de notre sort, comme si nous étions des animaux ou moins encore.

A: Craignez-vous les représailles après cet acte contre la monarchie?

J: Oui, je craignais certainement des représailles contre moi et ma famille suite à ma participation à la prise de la Bastille. Nous savions que le roi et la noblesse ne resteraient pas les bras croisés, et que les représailles étaient inévitables. J'étais conscient que les nobles et leurs sympathisants n'hésiteraient pas à s'en prendre à ceux qui s'opposaient à eux. Mais la colère et la détermination étaient plus grandes que la peur. Nous étions allés trop loin pour nous arrêter en si bon chemin, et je me suis joint à la foule en espérant pouvoir changer les choses définitivement.

A: Comment voyez-vous l’avenir de la France après la chute de la Bastille?

J: Ça reste à écrire, citoyenne. Notre travail n'est pas terminé. Nous avons conquis la liberté, mais nous devons maintenant bâtir une société égalitaire, où chacun aura sa place et où la justice sera pour tous. La Révolution est en marche, et nous sommes déterminés à poursuivre notre lutte pour un avenir meilleur.

A: Vous considérez-vous comme un héros ou comme un citoyen ordinaire qui a fait ce qu’il fallait?

J: Je ne me considère pas comme un héros, je suis un citoyen ordinaire qui a fait ce qu'il estimait être juste. J'ai tenté de défendre mes idées et mes valeurs contre un régime que je considérais comme injuste et tyrannique. J'ai agi pour le bien commun, pour les intérêts du peuple et de tous les citoyens, pas pour ma gloire personnelle.

A: Je te comprends. Quel message voudriez-vous transmettre aux générations futures?

J: Que la liberté n'est pas acquise une fois pour toutes, mais qu'elle doit être défendue en permanence. Que la lutte contre l'oppression est nécessaire pour préserver notre droit à la dignité et à l'épanouissement. Et surtout, que le peuple, quand il se lève, quand il se bat pour ses rêves, est plus fort que toutes les armées et tous les despotes réunis.

A: Maintenant, si cela ne vous dérange pas, je vais vous poser des questions un peu plus inhabituelles et imaginatives.

J: Pas de problème, je suis tout à fait ouvert aux questions insolites!

A: Avez-vous crié quelque chose de grandiose ou ridicule en entrant dans la Bastille?

J: Ah! Haha, j'avoue, il y a eu quelques cris de fierté et même peut-être d'impertinence en pénétrant dans la forteresse. Nous étions fiers de notre exploit, et certains d'entre nous ont sans doute crié des choses un peu extravagantes dans la folie du moment.

A: Rêvez-vous parfois que la Bastille vous mange au lieu que ce soit vous qui la preniez?

J: Haha, cette question est tout à fait inattendue! Mais non, je ne rêve pas que la Bastille me mange. Cette forteresse n'était pas un monstre, juste un symbole d'oppression. Ce que je rêve, par contre, c'est d'un monde où personne n'ait à craindre d'être écrasé par les puissants.

A: Si vous étiez un animal révolutionnaire, lequel seriez-vous? Un coq furieux? Un âne obstiné?

J: Hmmm, j'aurais peut-être l'âme d'un coq énergique! Pas mal celui-ci. Ou bien un âne têtu, oui, ça aussi ce serait approprié. On a tous un peu de ces animaux en nous, la fierté et l'obstination des temps révolutionnaires !

A: Et, pour finir, quel est votre plus grand regret: ne pas avoir volé un souvenir à la Bastille ou ne pas avoir crié une phrase historique?

J: Hahaha, eh bien, mon plus grand regret n'est ni de ne pas avoir volé un souvenir ni de ne pas avoir crié une phrase historique. Ce serait plutôt de ne pas avoir pu profiter plus longtemps de la liberté gagnée par notre effort collectif. Car la liberté, une fois gagnée, a toujours une saveur très douce.

A: Merci beaucoup Jacques Cartier! Cela a été très intéressant de discuter avec vous et d’en apprendre davantage sur votre moment historique.

J: De rien, citoyenne! Pour moi aussi, cela a été un plaisir et un honneur de partager ces souvenirs. Je souhaite que l’histoire de notre lutte reste toujours dans les cœurs et les âmes de la nation. Vive la France et vive la Révolution!

J'ai créé le chatbot en Character.ai, comme j'ai bien dit. Pour la première interview j'ai rempli le nom du personnage, une petit petit description, la salitation et un petit slogan, que j'ai mis "Je forge l’avenir et renverse les rois!".

Pour la seconde interview j'ai fait un petit recherche avec Perplexity de cet époque et, concretement, de la Prise de la Bastille, où était notre personnage. Après cette petit recherche, j'ai mis les liens dans NotebookLM, IA qui m'a fait la description, un peu plus grosse, pour la posser dans le character de Jacques. Pour finir l'amélioration du personnage, j'ai dit à Lexicart de faire un photo de Jacques, en lui donnant une description de lui, mais cette IA ne m'a fait cas, qui me donne des photos qui n'avaient rien à voir avec ce personnage. Après, j'ai demandé à Raphael.ia le même, avec la même description, et il m'a donné ça que je voulais, avec trois plus options similaires.

Pour la seconde interview, après avoir mis la description détaillé j'ai commencé une nouvelle discussion. Dans les interviews, j'ai fait a Jacques Cartier les mêmes questions, et j'ai choisi ces réponses. 

Je les ai chosi par différents raisons: comme qu'il donne plus d'information ou contextualisation que l'autre, que cette réponse est plus vraie, plus proche, plus amusant, plus sentimental (car il le montre en train de rire), ou simplement, que je l'aime plus. Mais, dans un réponse, la réponse número 4, j'aimé les deux, donc j'ai fait un mix avec ces réponses.

J'ai aimé plus la seconde interview, et je pense que c'est parce que comme l'IA a plus d'information, elle l'a fait meilleure, avec plus contextualisé, plus d'humanité, des sentiments, etc.

Pour finir, j'ai trouvé intéressant l'époque, c'est une époque que j'ai aimé depuis toujours, et je voulais approfondir dans elle un peu plus. J'ai trouvé stimulant de ne pas savoir comment j'allais répondre aux deux entretiens, et j'étais curieuse. Et j'ai trouvé très très frustrante faire la photo, parce que l'IA ne m'a fait ça que je voulais avec quelques intents, et j'ai dû changer d'IA pour le faire.